samedi 11 avril 2009

Les 35 heures sans fleurs ni couronnes

Où l'on assiste à la fin d'une exception française à classer au rang de relique d'une fausse bonne idée.


L'on devait aussi retrouver la joie collective d'une population libérée des chaînes du travail en se mettant au pas des 35 heures... l'on sait maintenant que les 2/3 du temps libre supplémentaire ont profité à la télévision, jeux et autres feuilletons de télé-réalité.

Michel Godet, professeur au CNAM


Le Monde, 18 juillet 2007

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