Où l'on assiste à la fin d'une exception française à classer au rang de relique d'une fausse bonne idée.
L'on devait aussi retrouver la joie collective d'une population libérée des chaînes du travail en se mettant au pas des 35 heures... l'on sait maintenant que les 2/3 du temps libre supplémentaire ont profité à la télévision, jeux et autres feuilletons de télé-réalité.
Michel Godet, professeur au CNAM
Le Monde, 18 juillet 2007
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire